Comment une psychothérapeute a construit une activité stable et épanouissante ?
Témoignage : Véronique Tresca, psychothérapeute indépendante, partage son parcours vers l’équilibre professionnel
Son parcours est une véritable leçon de vie. À 40 ans, Véronique Tresca quitte le confort d’une carrière dans l’administratif pour se former au métier de psychothérapeute indépendante. À 50 ans, elle ouvre son cabinet et entame une nouvelle vie professionnelle, guidée par l’écoute, la bienveillance et l’accompagnement. Depuis plus de 15 ans, elle exerce sous le statut de salariée portée chez Freecadre, une solution qu’elle considère aussi stable qu’essentielle.
Un métier rare dans le monde du portage salarial, mais qui trouve parfaitement sa place au sein de notre société. Car chez Freecadre, nous croyons à la richesse de tous les profils et particulièrement à ceux qui œuvrent dans le soin et l’humain.
Une reconversion à 40 ans : renouer avec du sens
Quand Véronique engage sa reconversion, elle mène déjà une vie bien remplie. Mais une aspiration profonde l’habite : retrouver du sens, de l’écoute, du lien.
« Ce n’était pas une impulsion. C’était une évidence intérieure. J’avais besoin de me rapprocher de ce que je suis vraiment et de faire un métier qui ait du sens. »
Elle se lance alors dans une formation exigeante : d’abord au sein d’une école du groupe humaniste Carl Rogers, puis en systémie familiale, psychopathologie, hypnose et EMDR. Un parcours dense, qu’elle valide officiellement en obtenant le titre de psychothérapeute délivré par l’Agence Régionale de Santé (ARS) de Poitiers.
« Ce titre est très important dans notre métier. Il incarne le sérieux de notre démarche et inspire la confiance, autant chez les patients que chez les professionnels. »
Une approche thérapeutique profondément humaniste
Véronique pratique une psychothérapie centrée sur la personne, selon les principes de Carl Rogers : empathie, regard inconditionnel positif, congruence. Une approche bienveillante qui considère la personne comme actrice de son propre changement.
« Rogers parlait de « client » et non de « patient ». Il voyait la thérapie comme une collaboration d’égal à égal. J’adhère pleinement à cette vision. La personne apprend sur elle-même, à son rythme. »
À 50 ans, une nouvelle vie professionnelle commence
Dix ans après avoir amorcé sa reconversion, Véronique ouvre son cabinet à Royan, puis rejoint la maison médicale de Saint-Fort-sur-Gironde afin d’y accueillir ses patients dans un second espace. Elle choisit alors le portage salarial, une voie encore méconnue dans son secteur, mais qui s’imposera comme une évidence.
« Je voulais exercer librement sans gérer les lourdeurs administratives. Le portage salarial m’a offert cette liberté, avec en plus un vrai filet de sécurité. »
C’est en 2009 qu’elle rejoint Freecadre.
Un rythme choisi, en toute autonomie
Aujourd’hui, Véronique exerce à temps partiel. Un choix réfléchi, en accord avec son rythme personnel et l’exigence émotionnelle de son métier.
« La psychothérapie est une activité intense, humainement et émotionnellement. Il est fondamental de poser des limites pour rester pleinement présent à l’autre. »
Grâce à Freecadre, elle bénéficie d’une flexibilité totale : emploi du temps ajustable, congés libres, tout en conservant une sécurité salariale et une couverture sociale complète (arrêt maladie, retraite, mutuelle…).
Une professionnelle passionnée, en évolution constante
La formation continue est au cœur de sa pratique. Tous les 3 à 4 ans, Véronique enrichit sa boîte à outils thérapeutique.
« Se former, c’est indispensable. J’ai récemment ajouté l’hypnose et l’EMDR. Cela me permet de proposer d’autres portes d’entrée, pour « réparer », comme j’aime le dire. »
Elle insiste également sur la nécessité de la supervision régulière, du travail personnel, et d’une écoute structurée, capable de guider tout en laissant de l’espace.
Un regard lucide sur son métier
« Être psychothérapeute, ce n’est pas juste écouter. Il faut savoir accompagner, poser un cadre, proposer des alternatives. Il arrive que ça bloque, que des patients arrêtent… Ce n’est jamais neutre. C’est un métier qui nous apprend l’acceptation, l’adaptabilité. Finalement, on apprend tout le temps. »
Et sur la popularité croissante de la psychologie et du développement personnel sur les réseaux sociaux ?
« Tant que cela fait du bien, c’est le principal. La bienveillance reste le maître mot. »
Freecadre : un partenaire de confiance
Véronique évoque Freecadre avec chaleur et sincérité. Après plus de 15 ans de collaboration, elle parle d’une structure fiable, humaine, réactive.
« L’équipe est toujours disponible. On sent que c’est une entreprise à taille humaine, respectueuse. Je me sens vraiment accompagnée. »
Une relation de confiance, aussi précieuse que celles qu’elle tisse avec ses patients.
Le portage salarial : une solution idéale pour les indépendants du soin
Le parcours de Véronique montre que les professionnels du soin, de la thérapie ou du mieux-être ont toute leur place dans le portage salarial. Et qu’ils peuvent y trouver un équilibre rare : liberté, sécurité et reconnaissance.
Chez Freecadre, nous sommes fiers d’accompagner ces profils engagés, passionnés, et profondément humains.
« Je ne regretterai jamais ma reconversion. C’est la meilleure décision de ma vie. »
Ce que Véronique a trouvé chez Freecadre
- Une sécurité salariale fiable
- La liberté d’organiser son emploi du temps
- La prise en charge des formalités administratives (URSSAF, fiches de paie, arrêt maladie…)
- Le financement de formations professionnelles
- Un accompagnement personnalisé et bienveillant
Et vous ?
Vous êtes thérapeute, coach, consultant ou professionnel du soin ?
Vous cherchez une alternative à la micro-entreprise ?
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