La transition écologique n’est plus un choix mais une réalité économique, légale et sociétale. Les entreprises doivent aujourd’hui réduire leurs émissions, se conformer aux réglementations (CSRD, loi Climat, transition énergétique…), mieux gérer leurs ressources et améliorer leurs pratiques environnementales. Résultat : la demande d’experts augmente fortement, notamment sous forme de missions externes.
Dans ce contexte, le portage salarial s’impose comme une solution idéale pour les consultants spécialisés dans le développement durable, offrant flexibilité, crédibilité et sécurité.
Avec l’intensification des réglementations françaises et européennes, les organisations – entreprises, collectivités, ONG – doivent :
Face à ces enjeux, beaucoup n’ont ni le temps ni les compétences en interne, et se tournent de plus en plus vers : des consultants indépendants, des spécialistes capables d’intervenir rapidement et/ou des missions temporaires ciblées.
Le marché des métiers “verts” continue donc de croître, créant un terrain idéal pour les freelances en quête de missions à fort impact.
Les acteurs publics et privés préfèrent souvent faire appel à des consultants externes, et ce pour plusieurs raisons :
Ainsi, les consultants en transition écologique peuvent intervenir régulièrement sur des audits énergétiques, des bilans carbone, des plans de mobilité, des stratégies RSE, ou encore des formations aux bonnes pratiques.
Le portage salarial rend ces missions encore plus simples à mettre en place et à gérer, pour le consultant comme pour le client.
Le marché du développement durable fait émerger une grande variété de métiers désormais bien présents en portage salarial.
Les profils les plus visibles sont d’abord les consultants RSE, qui accompagnent les entreprises dans l’analyse de leur impact et la construction d’une stratégie durable cohérente.
On trouve également de nombreux experts spécialisés dans le bilan carbone, dont le rôle devient incontournable avec les nouvelles obligations de mesure et de réduction des émissions.
D’autres indépendants se tournent vers le reporting ESG et la conformité CSRD, aidant les organisations à produire des indicateurs fiables et lisibles. La transition énergétique constitue elle aussi un domaine majeur pour les consultants portés, qu’il s’agisse d’optimisation des consommations, de plans d’investissement ou d’accompagnement vers la décarbonation.
L’économie circulaire attire également de nouveaux profils, travaillant sur la réduction des déchets et l’amélioration des flux de ressources, tandis que certains choisissent la formation au développement durable pour sensibiliser salariés et décideurs.
Enfin, de plus en plus de professionnels se spécialisent dans le “numérique responsable”, un secteur en plein essor qui traite de sobriété informatique, d’empreinte carbone du digital ou encore de conception UX plus durable.
Tous ces métiers peuvent être exercés en portage salarial, offrant aux experts la liberté d’entreprendre tout en conservant la protection et la crédibilité du statut de salarié.
Le portage salarial associe les avantages du salariat et la liberté du freelancing, ce qui en fait une solution particulièrement adaptée aux consultants environnementaux.
Contrairement au statut freelance classique :
Le consultant peut se consacrer à sa mission en toute sérénité.
De nombreuses entreprises préfèrent travailler avec :
Le portage rassure, surtout dans les secteurs publics, industriels ou réglementés.
La société de portage s’occupe :
Le consultant reste concentré sur ce qui compte : la mission.
Très utile pour :
Se lancer comme consultant “green” en portage salarial nécessite une démarche structurée, qui commence par la définition de sa spécialité. Audit énergétique, accompagnement RSE, bilan carbone, communication responsable, QSE ou formation : plus l’expertise est claire, plus il sera facile de se positionner sur un marché précis et de prospecter efficacement.
Selon la nature de l’activité choisie, l’obtention de certifications ou de qualifications peut ensuite renforcer la crédibilité du consultant. Elles peuvent prendre la forme d’une certification bilan carbone, d’un label QSE, de normes ISO ou encore d’un diplôme en ingénierie environnementale ou en systèmes de management durable.
Une fois ces bases posées, il est essentiel de construire une offre lisible, qui présente clairement les types de missions proposées, les modalités d’accompagnement, les bénéfices attendus et, bien entendu, le niveau de valorisation ou de tarification.
L’étape suivante consiste à identifier des clients potentiels : les possibilités sont nombreuses, allant des PME industrielles aux collectivités locales, en passant par les startups de la green-tech, les entreprises soumises aux obligations CSRD ou encore les associations et ONG en quête d’expertise environnementale.
Enfin, choisir le portage salarial permet d’exercer cette activité en toute simplicité. Une société comme Freecadre offre la possibilité de facturer immédiatement ses missions, de bénéficier d’une protection sociale complète et d’être libéré des contraintes administratives. Le consultant peut ainsi se concentrer sur ce qui compte le plus : l’impact et la réussite de ses interventions.
La transition écologique n’est pas une tendance : c’est une transformation profonde et durable. Dans les années à venir :
Le portage salarial apparaît alors comme un modèle parfaitement adapté à cette nouvelle économie : souple, protecteur, transparent et professionnel.
De plus en plus de professionnels choisissent d’exercer des métiers du développement durable en portage salarial. Ce statut leur permet :
Dans un contexte où les organisations cherchent des experts capables de les guider vers un modèle plus durable, les consultants portés deviennent des acteurs clés de la transformation environnementale des entreprises.
Photo : Karola G – Pexels ©
Contactez-nous : www.freecadre.fr – +33 (0) 4 66 70 22 22